- Le développement du slow-steaming aurait un impact marginal sur les chaînes logistiques internationales de vracs
- ® Senalia
Plusieurs armements et pays dont la France se prononcent en faveur de la réduction de la vitesse des navires afin de diminuer les émissions de gaz à effet de serre du transport maritime. Pour les chargeurs, la pertinence de cette solution dépend des marchandises acheminées mais peut avoir des effets pervers.
Au sommet du G7 en août dernier à Biarritz, Emmanuel Macron a évoqué lors de sa déclaration préalable la réduction de la vitesse des navires pour diminuer les émissions des gaz à effet de serre du transport maritime. Destinée aux flux de matières premières acheminées en vrac (pétrole, minerais, charbons, céréales…), cette proposition est aujourd’hui défendue par la France devant l’Organisation mondiale maritime (OMI). Or, elle n’avait jusqu’à présent fait l’objet d’aucune évaluation de son impact sur les supply-chains internationales ; un travail entrepris par Pierre Cariou, économiste maritime et (...)
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